Histoire d'Amour en Vie: Henri & Florence

Février 2025

Roman d'amour

Henri & Florence sont dans leur appartement de Venise, et c’est dans leur cuisine que leurs corps s’embrasent ensemble. L’odeur du lait chaud et les jambes de Florence qui effleurent Henri ne le laissent pas indifférent et réveillent en lui la passion avec laquelle il la dévorera.

La nuit tombait doucement sur Venise, enveloppant la ville d’un silence feutré. Dans leur cuisine éclairée par la lumière dorée des lampes suspendues, Florence était assise sur le plan de travail, une cuillère en bois tournant paresseusement le lait qui chauffait dans une casserole. Ses jambes fines se balançaient dans le vide, effleurant parfois le tablier d’Henri, qui se tenait debout devant elle, captivé.

Il avait toujours adoré ses jambes, leur courbe élégante, la douceur de leur peau, et ce soir, plus que jamais, elles l’attiraient irrésistiblement.
Il l’observait avec cette fascination silencieuse qui le prenait parfois, une admiration teintée de désir. L’odeur du lait chaud se mêlait au parfum délicat de Florence, et il ne put s’empêcher de s’approcher, ses mains glissant doucement le long de ses jambes nues. Elle frissonna sous la caresse, mais ne détourna pas son attention de la casserole.

D’un geste assuré, Henri éteignit le feu et repoussa légèrement la casserole, ignorant la vapeur qui s’en échappait. Il ne voyait plus que Florence, son sourire à peine esquissé, ses yeux sombres posés sur lui avec une douceur qui lui donnait envie de tout arrêter autour d’eux.

Ses doigts remontèrent le long de ses cuisses, effleurant la peau fine sous sa jupe. Elle inspira légèrement lorsque ses lèvres trouvèrent les siennes, un baiser d’abord furtif, puis plus appuyé. Florence décroisa lentement ses jambes, l’invitant sans un mot à s’installer entre elles, leur respiration s’accordant au même rythme.

Henri se pressa contre elle, sa main remontant sur sa hanche tandis qu’il approfondissait leur baiser. Elle se laissa aller contre lui, le lait oublié, la nuit devenant leur seul témoin. Il la souleva dans un mouvement fluide, la tenant fermement contre lui, sentant la chaleur de son corps épouser le sien.

Ils quittèrent la cuisine, traversant les couloirs éclairés par les reflets des lumières vénitiennes, jusqu’à ce que Henri la dépose sur leur lit. Il la contempla un instant, capturant son souffle saccadé et l’éclat de désir dans son regard. Puis, avec une lenteur infinie, il la pénètre, leurs corps s’imbriquant dans une danse intime et languissante, où chaque mouvement était une promesse, chaque soupir une prière.